Cafe Society

Voix off par Woody Allen himself, à l’instar de Tarantino dans Les 8 Salopards: ça commençait mal. De toute façon depuis Whatever works…pas la folie le Woody.

 

Et bien ça y est, il nous est revenu. Amour et légèreté, quiproquos et blagues juives: la recette classique y est.

Ajoutez à cela une Kristen Stewart plus belle que jamais (littéralement, que jamais) avec au moins quatre expressions faciales différentes (trois de plus que d’habitude, donc), un Jesse Eisenberg dont on se dit qu’il aurait dû jouer sous la direction d’Allen bien avant To Rome with love tant il correspond parfaitement à ses personnages habituels (d’aucuns diront qu’il ressemble plus à Woody Allen que Woody Allen lui-même), une Blake Lively à croquer et un Steve Carell parfait en vieux ragoutant.

 

Et vous obtenez un bon Woody Allen. Ni un bon, ni un mauvais film; juste un bon Woody Allen. Avec en prime une lumière incroyable, parfaitement captée par Vittorio Storaro (« Monsieur » caméra de Coppola », tout de même).

A voir pour se détendre et se rappeler pourquoi on aime le réalisateur du Bronx.

hovhjosp