Un moment d’égarement

N’attendre que quarante ans pour faire un remake d’un Claude Berri avec, entre autres, le grand Jean-Pierre Marielle: c’est osé. Grâce à un casting quatre étoiles, c’est gagné.

Attention tout n’est pas à garder: on pense notamment au ridicule et forcé accent corse de Cluzet, au stéréotype (volontaire) de « jeunes » que sont les deux jeunes filles, au cantonnement de l’excellent Cluzet à des rôles de psychopathes qui bute des animaux, ou tout simplement aux scènes de quiproquo un peu faciles…

Voilà pour la critique. A part ça, ce film est un très bon divertissement: humour omniprésent (a-t-on déjà vu Vincent Cassel aussi comique ?!), érotisme à la limite du tenable (Lola Le Lann, pour son premier film tout de même, ne vous laissera pas indifférent); quant à Alice Isaaz vous savez que j’ai eu un énorme coup de foudre pour elle dans Fiston…), et surtout une tension de plus en plus palpable… Une sorte de La Piscine incestueux et sans Romy, très curieux.

 

Ce n’est pas un grand film, mais un très bon moment. A ne pas partager avec ses parents/grands-parents/frère-sœur…mais entre mecs qui veulent se rincer l’œil !

UN+MOMENT+D+EGAREMENT


One Comment on “Un moment d’égarement”

  1. Patrick dit :

    j’en sors et j’ai bien aimé 🙂
    Bon étant Corse, comme dans beaucoup de films c’est un peu n’importe quoi au niveau des positions géographiques (la boite Via Notte doit être à 1h de route de la maison…)

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